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Tadam voila
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We were five that day: Aimée, Benoît, Diego, Katalina and Yoan.

TADAM VOILA PLUS

So we had to keep at least this time, plus the time to dive in, all synchronized between us. We repeat this as much as possible… The camera, fixed on a flying propeller, takes pictures at intervals of 5 seconds. Hold underwater for 8 seconds, come back up, dive again. Junko YAMASAKI > Louis-Frédéric APOSTOLY et Nils FOGEL Jürgen NEFZGER > Etudiants d’Aix-en-Provenceįrançois-Xavier ORSINI > Stéphane ACCARIE Mouna BAKOULI > FONDATION RENÉ D’AZUR (G.CATY, V.COSTA, S.LALLANE) et Frédéric CLAVÈREĪnne FAVRET & Patrick MANEZ > Maxime PARODIįiorenza Floraline MENINI > UNLOCKED WOMEN Aux côtés de leurs invités, ces artistes dresseront un portrait dynamique de La Station, dévoilant les maillages la reliant au territoire actuel de l’art contemporain. Pour l’occasion, d’anciens résidents viennent exposer, rappelant que La Station est une structure mouvante, qui se réinvente constamment au gré des départs et des arrivées de ses membres.

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Habituellement ouverte sur le monde, La Station ne s’autorise que très rarement à s’exposer elle-même : l’exposition Voilà l’été est l’occasion pour ces artistes plasticiens de rendre visible les dialogues déjà opérants au quotidien entre ses murs. Bénéficiant d’ateliers partagés, ils organisent des résidences temporaires, des expositions et des événements toute l’année durant. A la fois espace d’exposition et résidence d’artistes, cet artist-run space se compose actuellement de quatorze artistes (deux musiciens et douze plasticiens). Pour La Station, c’est l’occasion de dresser le portrait de son identité complexe et polymorphe. Pour les artistes des ateliers municipaux, ce sera l’occasion de confronter leurs pratiques, qui se développent ordinairement dans les ateliers individuels pour ensuite s’exposer ailleurs, notamment dans les galeries Espace à Vendre, Eva Vautier, Catherine Issert… Le dialogue plastique entre résidents, également nourri par le choix de leurs invités, est ici inédit. Le public pourra ainsi découvrir l’inventivité et le dynamisme qui se cache, au quotidien, derrière les murs épais des anciens abattoirs. Les œuvres exposées sont récentes, voire inédites (certaines ayant été réalisées durant le confinement ou peu après) : elles donnent à voir, à écouter et à penser cette période si particulière que nous traversons.Ĭ’est également l’occasion, pour ces artistes plasticiens, de rendre publique leur pratique sur leur lieu de travail : exercice peu ordinaire au 109 car ce lieu est, pour les plasticiens, avant tout dédié au temps spécifique de la création en atelier. Cette sélection s’est opérée naturellement, par affinités électives, que celles-ci soient plastiques, esthétiques ou tout simplement générationnelles.

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La règle du jeu est la même pour tous : chacun des résidents invite un artiste extérieur à venir exposer de manière à créer un panorama de la création contemporaine. L’exposition dans la Grande Halle du 109 est menée par les artistes des ateliers municipaux de la ville de Nice, tandis qu’à La Station (espace d’art auto-géré et première association à s’être implantée sur le site en 2009) l’accrochage est pensé par ses résidents. Cette exposition dévoile les travaux récents des artistes résidents du 109 et de leurs invités : plus de cent artistes travaillant sur le territoire de la région SUD, de générations et aux pratiques diverses, y sont représentés.











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